2025
Chaque changement de gouvernement crée une onde de choc sur les marchés. Les investisseurs se replient, les banques se couvrent, et la prudence gagne les ménages.
La dégradation de la note française à A+ par Fitch a amplifié ce sentiment d’incertitude, renforçant la méfiance autour du budget et de la dette publique.
Le résultat, c’est un climat d’attente généralisé — visible jusque dans les chiffres du logement :
📊 À retenir en octobre 2025 :
Ces chiffres traduisent un marché résilient, mais prudent.
La demande reste là, portée par des besoins réels (mutations, projets familiaux, placements patrimoniaux), mais la visibilité économique et politique se rétrécit.
Acheter ou vendre un bien, c’est avant tout un acte de confiance.
Confiance dans sa situation personnelle, dans le marché, et dans la stabilité du pays.
Et depuis septembre, cette confiance s’érode.
Les acheteurs deviennent plus exigeants : ils comparent, négocient, et attendent “le bon moment”.
Les vendeurs, eux, hésitent : faut-il ajuster le prix ou patienter ?
Résultat : un marché plus lent, où les transactions se font, mais avec davantage de négociation et de préparation.
Cette phase d’incertitude creuse les écarts entre territoires :
L’instabilité politique agit comme un révélateur : elle distingue les marchés robustes de ceux qui reposaient sur une confiance fragile.
Les crises politiques n’entraînent pas toujours une chute brutale des prix.
Mais elles installent un autre danger, plus silencieux : l’attentisme.
Un marché qui attend est un marché qui s’enraye.
Les acheteurs repoussent leurs décisions, les vendeurs hésitent à baisser leurs prix, les banques deviennent plus sélectives.
Résultat : un effet domino où chacun attend que l’autre bouge.
Ce phénomène pourrait freiner la reprise amorcée au premier semestre 2025.
Pour autant, il ne faut pas y voir un effondrement : simplement un temps d’adaptation, avant que la confiance ne se réinstalle.
Ces périodes de tension ont un effet paradoxal : elles accélèrent la modernisation du marché.
Les vendeurs veulent comprendre ce qu’ils paient et pourquoi.
Les acheteurs veulent savoir où va leur argent.
Les professionnels, eux, doivent justifier leur valeur ajoutée.
Cette exigence de clarté pousse le secteur vers plus de digitalisation, de transparence et de réactivité.
Les acteurs capables d’allier technologie et accompagnement humain — comme Twisteur — prennent une longueur d’avance.
Le modèle traditionnel des agences à commissions variables montre ses limites.
Chez Twisteur, les honoraires fixes garantissent une approche plus juste, plus lisible et plus rassurante, même en période d’instabilité.
Chez Twisteur, on ne se contente pas de suivre le marché : on l’anticipe.
Nos outils digitaux internes, nos données en temps réel et notre réseau d’experts permettent de transformer la complexité du moment en stratégie claire et efficace.
Nous aidons nos clients à naviguer dans les périodes d’incertitude avec méthode :
📌 en ajustant les prix au plus juste,
📌 en valorisant les biens sur les bons canaux,
📌 en accompagnant les négociations avec rigueur et transparence.
Nos honoraires fixes permettent de garder le contrôle sur le budget, tout en bénéficiant d’un suivi humain et stratégique.
Parce qu’en immobilier, la vraie valeur ne réside pas seulement dans la vente — mais dans tout ce qu’on vous évite.
Octobre 2025 aura rappelé une évidence : l’immobilier ne vit pas hors du monde politique et économique.
Les crises s’enchaînent, les gouvernements changent, mais les besoins, eux, restent les mêmes : se loger, transmettre, sécuriser son patrimoine.
Dans ce contexte, attendre n’est pas toujours la meilleure stratégie.
Avec les bons outils et le bon accompagnement, il est possible de vendre ou d’acheter sereinement, même dans la tempête.
Chez Twisteur, on continue d’y croire :
les marchés changent, mais un bon accompagnement reste une valeur refuge. 🏡