2025
“Pourquoi payer une agence ? Je peux vendre seul et économiser plusieurs milliers d’euros.”
“Vendre un bien seul ? Facile, il suffit de poster une annonce sur Leboncoin !”
C’est souvent là que tout commence.
Et c’est exactement là que s’illustre l’effet Dunning-Kruger, cette tendance à surestimer ses compétences lorsqu’on découvre un domaine… avant d’en réaliser la complexité réelle.
Formulé par les psychologues David Dunning et Justin Kruger, cet effet décrit un phénomène bien connu :
les personnes peu expérimentées dans un domaine ont souvent une confiance très élevée au départ, persuadées que le sujet est simple à maîtriser.
Mais plus elles avancent, plus elles découvrent la complexité cachée — et leur confiance chute brutalement avant de remonter avec l’expérience.
Dans l’immobilier, c’est un scénario classique.
Tout semble clair au début : faire des photos, publier une annonce, attendre les acheteurs.
Mais en réalité, vendre un bien ne se limite pas à une transaction.
C’est un enchaînement de décisions techniques, juridiques, émotionnelles et stratégiques.
Tout semble simple.
On sort son téléphone, on photographie son bien sous son plus bel angle, on rédige une annonce pleine de superlatifs et on la publie sur les sites d’annonces.
Les premières vues montent, les appels arrivent, et la confiance explose :
“C’est bon, je vais la vendre vite et sans agence !”
À ce stade, le vendeur pense avoir fait le bon choix.
Il s’imagine économiser plusieurs milliers d’euros en honoraires et se félicite de sa démarche.
Mais ce qu’il ignore, c’est que la plupart des acheteurs savent repérer une vente de particulier, et qu’ils viennent justement pour négocier plus bas.
C’est le moment où la réalité du terrain s’impose.
Les appels enthousiastes se transforment en négociations serrées.
Les visites s’enchaînent sans offre concrète.
Les semaines passent, les prix s’ajustent, la fatigue s’installe.
Et puis viennent les imprévus :
👉 Résultat : le bien reste en ligne trop longtemps.
Les acheteurs commencent à s’en méfier, à penser qu’il y a un problème.
Le vendeur finit par baisser son prix, parfois de 10 à 15 % — bien plus que les honoraires qu’il voulait éviter.
C’est la fameuse “vallée de la réalité” : ce moment où l’on comprend que vendre seul, ce n’est pas si simple.
Et que le vrai coût, ce n’est pas l’agence… c’est le temps perdu et la valeur envolée.
C’est ici qu’intervient l’expérience.
Chez Twisteur, nous avons accompagné des centaines de ventes, et nous connaissons ces phases par cœur.
Nous savons à quel moment la confiance s’effrite, quand ajuster la stratégie, et comment sécuriser chaque étape pour éviter les pièges.
Notre rôle ne se limite pas à “trouver un acheteur”.
Nous structurons le processus :
Notre objectif : transformer la courbe d’incertitude en un parcours fluide, clair et maîtrisé, où chaque décision est guidée, expliquée, et alignée avec vos intérêts.
Vouloir économiser les frais d’agence, c’est souvent prendre le risque de vendre en dessous de la vraie valeur de son bien.
Et c’est peut-être là la plus grande ironie :
en cherchant à économiser, on finit parfois par perdre bien plus.
Chez Twisteur, nos honoraires fixes garantissent :
Parce qu’en immobilier, la vraie expertise ne se mesure pas à ce qu’on facture,
mais à tout ce qu’on vous évite. 🌪️